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"Celui qui a mis ces menaces sur Internet et qui pourrait les renouveler est un criminel et un terroriste. C'est mon avis. Et il est dans ma définition qu'il doit être jugé comme tel", a affirmé M. Lisée, invité de la chaîne d'information en continu de Québecor, jeudi. Le porte-parole de l'opposition officielle à Québec, Jean-François Lisée, a affirmé mercredi que la déclaration d'un prétendu souverainiste qui menace la démocratie québécoise est « inacceptable » et qu'il « n'y a pas de tolérance à l'égard des menaces ». Philippe Couillard avait soutenu que la déclaration d'un individu qui se présente comme un ancien militant de Québec solidaire mérite d'être examinée, à défaut de s'attaquer directement à son adresse IP. M. Lisée a soutenu mercredi que le chef péquiste serait prêt à réitérer son attaque contre l'identité numérique d'Adil Charkaoui s'il était en poste à l'Assemblée nationale. À Québec, Philippe Couillard a qualifié une telle attaque d' « un outrage à la démocratie québécoise » et a déploré le caractère « inacceptable » du texte écrit par Adil Charkaoui, qui qualifie de « féroce dictature de la majorité » les institutions politiques du Québec. Il a cependant estimé que cela n'était pas pour autant le bon endroit pour s'attaquer au problème d'Adil Charkaoui. « Je vais vous dire ce que je pense. C'est qu'un responsable politique, à l'Assemblée nationale, en prendrait pour un imbécile s'il agissait de la sorte. » Il a également réitéré son opposition à l'identité numérique, qualifiant de « séditieux » les élus « qui traînent, à l'occasion, ce qui pourrait être une menace envers la démocratie québécoise ». « J'estime que cette question est sûrement plus appropriée pour une commission parlementaire », a-t-il conclu, ajoutant que les réseaux sociaux n'étaient pas fait pour des « débats démocratiques ». Philippe Couillard a réitéré son opposition à la Charte des valeurs du gouvernement Marois, mais a dit son souhait de voir l'ensemble des députés de l'Assemblée nationale s'y opposer. Le chef libéral s'est dit toutefois satisfait du débat, car ce sera la deuxième fois qu'il interviendra sur l'article 1 du projet de loi 22, qu'il avait déposé en septembre. Le gouvernement du Parti québécois avait alors affirmé que la Charte était une question d'identité fédérale. « On ne s'est jamais intéressé à cette question-là. Par contre, on est allé plus loin qu'eux », a dit M. Couillard. Agrandir l’image  (Nouvelle fenêtre)   Najat Vallaud-Belkacem s'adresse à l'ensemble des députés de l'Assemblée nationale lors du débat de la Charte des valeurs du 30 avril. Photo : Radio-Canada Aux Communes, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, a défendu la décision du gouvernement Marois de couper le soutien financier du ministère des Transports au Centre de prévention de la radicalisation, en vertu de la Loi sur la lutte contre le crime organisé, au profit d'un organisme communautaire. « Depuis un certain temps, les gens qui font l'analyse du terrorisme en connaissent la signification. On peut vous présenter des chiffres parfois un peu effrayants » a-t-il dit en réponse à une question du chef de l'opposition officielle, Philippe Couillard. « Et ceux qui travaillent sur le sujet le savent et la connaissance de la nature du terrorisme a débouché sur un sentiment général de menace envers tous les citoyens. Alors, pour ceux qui veulent réduire la menace, il faut agir rapidement. » Ce que le gouvernement avait fait était déraisonnable, mais il avait le pouvoir et le droit de le faire. Martin Coiteux, ministre de la Sécurité publique « Dans l'état actuel des choses, où il n'y a pas de preuve concrète, c'est une décision très malheureuse. Mais à l'époque, on était dans des règles très différentes, a-t-il ajouté. On avait les moyens de prévenir une possible catastrophe. » C'est une fausse controverse, a soutenu M. Couillard. « L'urgence est qu'on dégage le terrain du terrorisme. Et cette idée de développer des choses et du travail de prévention qui est en cours ne prend pas de risques. Ce sont des moyens d'action que l'on peut mettre en place sans risque. » L'intervenant Philippe Gagnon, d'Umi Dissolvons le Bloc québécois, a réitéré l'importance du combat contre la discrimination, un sujet présent dans la motion principale du Bloc, mais aussi dans les quatre autres. Un point d'interrogation souligne cette absence, puisque « ni la discrimination, ni le nationalisme, ni l'ethnocentrisme, ni les préjugés, ni la xénophobie et l'intolérance » n'ont été évoqués. « Quand on parle de discrimination, on parle d'intolérance, a pour sa part souligné le député Marc Miller. Le contexte est actuellement l'histoire des réfugiés et des migrants. Le ministre de l'Immigration a de nombreux élus qui sont hostiles à l'accueil des réfugiés et des migrants. Le contexte est bien connu. » Le chef du Parti québécois, Pauline Marois, a affirmé qu'elle était déçue que le débat sur le projet de loi 22 se soit résumé à « une discussion sur la protection des droits des gens. Je pense qu'il y a un lien, encore plus actuel, avec l'intolérance. » Elle a rappelé les événements récents qui ont coïncidé avec l'adoption de cette loi, à savoir une tuerie de masse dans une mosquée de Québec le 29 janvier dernier. « Cette loi a été votée à un moment où on savait qu'il y avait des gens qui seraient prêts à aller faire la guerre au nom des chartes », a-t-elle dit.